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Pourquoi tous ces cons qui s'en sortent alors que ceux en face d'eux meurent
Il avait tellement de chose à vivre !
Tu t'envoles, long chemin qui te mène peut-être quelque part où on se reverra. Mon dieu tu me manques déjà tellement, ton sourire, ton regard, toi. Toujours à défier la mort de venir « j'y compte pas j'ai trop de choses à vivre » Elle a été la plus forte, ne t'as pas laissé vivre, elle te croit peut-être plus libre. Comment peut-on encore me parler d'espoir quand le seul qui me comprenait est parti. Si vite, sans prévenir, pourquoi toi, pourquoi ainsi ?Toi mon frère de cœur, ma conscience, mon bonheur te voilà disparut à jamais.Un accident m'aura tout ravi, il n'aura fallu qu'une seconde, te voilà en train de t'envoler.Tu m'avais promis de toujours être là, que rien à part la mort ne nous séparera.Tu as tenu ta promesse, c'est trop dur !Je ne sais pas quoi faire pour me dire que c'est comme ça et que rien ne changera ton départ précipité, départ que tu n'as pas voulu, départ qui me tu.Tout ces gens autours qui font semblant de comprendre ma douleur, de compatir sur une perte qu'ils ne comprendront jamais.Ils me disent que tu n'aimerai pas me voir dans cet état, qu'il faut que je me ressaisisse, mais merde ! Ils ne te connaissent pas !Tu étais ma vie, mon meilleur ami, mon frère de coeur, ma conscience, mon bonheur.Tout ces gens qui gravitent autour, leurs condoléances écoeurantes, pourquoi ne pas me laisser me réveiller de ce cauchemar horrible ?Je prendrai le téléphone et te raconterai ce cauchemar affreux, tu rirais en me disant que ça n'arrivera jamais et que tu seras toujours là...Et pourtant, je me concentre, j'essaye de me réveiller...Mais tu n'es plus là...Plus jamais je ne verrai ton sourire, tes yeux ; plus jamais je n'entendrais ta voix, plus jamais tu ne sera là pour essuyer mes larmes, plus jamais tu ne me demandera des conseils, plus jamais on parlera, plus jamais tu ne parlera, plus jamais tu ne vivra.Je suis seule rempli des ces souvenirs, les nôtres... Tout nos chemins empruntés je les faits sans relâche, nos endroits secrets, je repasse nos chansons, nos films...
Et je meure à mon tour parce que sans toi plus rien n'a de sens.
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<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p> Qui est le con qui dit que là où il est il est mieux ?
C'est quoi cette connerie de penser que loin de ses délires il est mieux ?
Révoltante est cette pensée de se résigner à croire que tout va aller bien ?
Chaque jour sera rempli de lui, de ses blagues, de ses mots
Il est mieux où il est ? Je ne crois pas
La vie il la bouffait, dévorait la moindre bouchée de ses bonheur
Alors dire qu'il est mieux dans un endroit que nous même ne connaissons pas ...
Peut-être que tout s'est arrêté, qu'il ne sens rien, comme un sommeil sans rêves
Peut-être, peut-être, que des incertitudes sauf une : Il aurait du vivre encore
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Une main malhabile se tend vers l'impossible
Mon cœur au creux de ses yeux, je m'enfuis vers l'invisible
Un silence au creux des mots, ce qui doit se faire en mieux
Une larme aux creux d'un œil, un lac au fond des yeux
Et le rire a disparut, perdu dans le trop sombre brouillard
Qu'un amour trop prétention a tué de son poignard
Un soupir derrière un rêve, une illusion, une défaite
Un espoir caressé du bout des doigts, un nouveau feu dans ma tête
Alors me voilà bien, seule au pied d'un arbre
Et les corbeaux sur leur piédestal admirent, ma fin misérable.
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Pardon à toi que t'avoir tant aimé alors que tu ne le mérite pas
Pardon à vous pour qui j'ai été là mais qui n'ont jamais rien fait pour moi
Pardon à elle en qui je croyait entrevoir une amie mais qui n'était qu'une hypocrite oportuniste
Pardon à toi de t'avoir soutenu, de toujours avoir été là pour toi sans rien autre en retour que l'indiférence
Pardon à vous d'avoir mon style et de vous dire MERDE
Pardon à lui que je prennait pour l'homme parfait mais qui n'était qu'un menteur et un salop
Pardon à vous d'avoir saigner, pleurer à cause de votre indifférence
Pardon à toi d'avoir cru en tes promesses merdiques
Pardon de ne pas etre une poupée muette
Pardon à ceux qui crache alors qu'ils ne me connaissent pas
Pardon d'avoir trouver des gens qui me prenne comme je suis
Pardon donc d'avoçir cru en l'amitié, la franchise, la loyauté, l'amour
Pardon parce que malgré toute les saletés que vous m'avez faites, le sang qui a coulé, les larmes, l'envie de crever...
JE SUIS TOUJOURS LA!
Oh, j'oubliais, Pardon d'etre heureuse. (grace à eux du moins.)
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Partie au pays des rêves me voilà folle et désenchantée
Comme un long silence, une trêve, ton sourire m'a achevé
Je n'illusionne plus, fini les souhaits non exaucés
Parti pour toujours tu t'es enfui, lâche poète persécuté
Alors seule au fond de ma chambre la pluie qui goutte contre la fenêtre
Je repense à ces moments, ces chimères, je n'étais pas prête
Pourquoi comme un ange dans la nuit tu resplendis toujours
Ne pourrai-tu pas avoir de la compassion pour les simples humains qui t'entourent.
Tes yeux, avant remplis d'étoiles sont morts maintenant
Et tes paroles, sont aujourd'hui, comme des feuilles emportées par le vent
Pardonne moi mes erreurs, ton silence m'a tué
J'ai pardonné tes faux pas, j'y ai crus, ou du moins, j'ai essayé
Et aujourd'hui que reste-t-il ? Juste un vieux souvenir usé par le temps.
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