• J'ai juste des fois le sentiment de ne pas etre à la hauteur

    de faire ce qu'il ne faut pas, de dériver, avec lenteur

    Je vous vois, vous qui etes là, mais pour combien de temps?

    y aura-t-il une chute? Comme il y en a inexorablement?

    J'attends...

    Quelle glandeuse hein, au lieu de se sortir les mains des poches..

    (j'aurai pu dire les doigts du cul mais c'est un peu trop glauque et ils ne sont jamais à cet endroit.)


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  • Je te voyait comme une partie de mon ame, un bout de moi

    Comme la seule qui me comprenait, là, en bas

    Et me voilà à comprendre que tout ça n'était qu'un leur

    Nous nous sommes enfoncées, à deux dans le malheur

    Ma douleur était telle que j'en aurait crever, si tu n'avais pas été là

    Mais la tienne me tuait encore plus car je ne pouvais rien pour toi

    Aujourd'hui on remet en question, cette amitié, cette symbiose

    Pour une simple paranoïa d'abandon, une psychose

    J'ai cru tellement de fois que tu étais mon ame,mon etre

    Que tout en toi n'étais que le feflet de ce que je voulais etre

    Et je comprends que ca n'est plus le cas

    Je ne veux pas de cette possessivité, cette tendre paranoïa

    Pourquoi pensé que je t'ai trahis?

    Tu crois que je ne te prenait pas pour une amie?

    Tu as raison...tu étais bien plus que ça

    Ma folie, reflet de la tinne, mon malheur gravé jusque dans ma chair

    Les lettre par dizaines, pour toi, ma jumelle qui m'est si chère

    Mais comme tu le dis je m'en fichais...

    Et les messages? Les journées ensemble à refaire le monde comme on l'espèrait?

    Cette symbiose, cette osmose parfaite?

    Je crois qu'au fond je n'étais pas prête.

    Pas prête à t'aimer autant, à y croire autant, à rever autant...

    Peux etre n'y crois tu pas...moi j'attends

    J'attends mais pas à en devenir folle

    Tu m'aime ou pas, "quelque chose c'est brisé...", Alors on recolle?

    Je t'aime.


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  • Je n'ai pas prévu de pardonner
    Pardonner la douleur, la trahison, c'est trop espérer
    Aujourd'hui loin de toi, de leur venin, je vis]
    Si je pouvais tout cracher, tout vomir,
    Vomir cette rancoeur,
    comme mon ame que je vomissais chaque soir
    Ce mal-être, cette tristesse
    Faire couler ce poison de mes veines,
    comme celui qui dégoulinait de mes bras
    Chaques soirs
    A cause de cette douleur, si forte, trop forte
    J'aimerai tout effacer, jusqu'à ton souvenir
    amputer mon bras, ne plus voir cette trace...
    trace de folie...
    J'aurai aimé mourir!


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  • Juste une larme dans mon univers, il a perdu un peu de lumière
    Dis moi quoi dire, pour te faire revenir, dis moi quoi faire
    Je suis, lasse d'être ainsi, à t'aimer tant, à t'aimer trop
    Etre loin de toi, de tes sourires, tes charmants caprices, tes doux mots
    Et loin de toi, de ton ame, je nage dans un brouillard, comment vas-tu
    Es-tu heureuse, aimes-tu, à quoi rêves tu?
    Moi dans le paradis de tes secrets je rêve, encore et encore, tant de nous
    De nos cicatrices qui  ne se ferment pas, de ces fous rires par miliards, des moments si doux
    [De toi, ma Jumelle, mon bout d'ame, ma reine]


    "Les déclarations, c'est pas mon fort, ça m'fesait d'la peine, mais maintenant je peux te l'dire, je t'..."


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  • J'ai mis du temps pour comprendre, ou plutot pour accepter. Accepter que tu ne sois pas là. J'ai eus milles nuits de veille à y penser, milles heures de sommeils de loupées. Y'a eus ces jours où je me disais que tu viendrai, que ce n'etais pas possible, juste un mauvais rêve, je ne me suis pas pincé assez fort. Mais non. Cette "famille", ces "amis", ce.. NEANT enfait. Ce vide, ce silence, vous. Vous, plus personne. Mais heureusement, dans ce monde vous n'êtes pas les seuls à vivre et des gens que dis-je, des anges, étaient là pour moi, Twins, Poisson, Mon maris, Marie, Laure, Maître...Ils étaient là, malgré mes crises de larmes, mon désespoir, ma dureté envers eux, la façon dont je les repoussaient. Parce que tu vois, je ne voulais qu'une chose : Crever.  Je l'ai tellement aimé, c'est peut-être ça que vous ne compreniez pas, ce n'était pas une histoire simple et vite faite. Pour moi c'était de l'amour, tout simplement...J'y ai tellement cru. Le pire dans cette histoire c'est qu'au final tout est sûrement ma faute...C'est dur de se dire avec du recul que tout aurait pu se passer autrement... Mais bon, un seul geste ne peu pas tout effacer, et de toute façon je ne veut rien changer. Je ne veux pas changer ces presque 5 mois de silence. Je ne veux pas changer ces gens qui t'ont influencé. Je veux juste que tu comprenne. Qu'aujourd'hui rien n'est plus pareil. Des malheurs particuliers naissent le bonheur général.
    [Parce que ce n'était pas de l'amour, mais bien plus que ça...]


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