• * Eh petite fille, tu bois de l'eau et tu es saoule.

     

    Ils en oublient même jusqu'à son nom, pauvre fille fragile


    Ils en oublient jusqu'à sa présence, pauvre enfant docile


    Seule dans les dédales des rues qu'elle connaît par cœur,


    A trop les avoir arpentées seule, à trop avoir peur


    Ses pieds qui avancent seuls, sans but réel


    Elle qui se perd, eux cherchant à être immortels


    Un fossé les sépare, fossé qu'elle croyait comblé tant de fois


    Mais les gens oublient jusqu'à ton existence, quand ils n'ont plus besoin de toi.


  • Commentaires

    1
    Mardi 1er Août 2006 à 15:24
    tu as mal
    puis tu apprends à faire comme eux froidement, cyniquement, humainement
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    2
    Mercredi 2 Août 2006 à 15:51
    encore un texte
    encore un texte si réaliste, décidément, tout comme moi, tu as dû souffrir de ces amitiés si perfides, qui claquent comme un fouet et qui blessent au fond du coeur! moi, j'ai déjà besoin de toi, et je ne te laisserais pas tomber! a trés vite sur msn! bisous et amitiés: INDOGOTHIK.
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