• Toujours le téléphone qui sonne, les appels anonyme
    Putain allez vous faire mettre!


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  • Je ne sais pas bien qui tu es, déjà tes mots m'ont touché
    Tu me parles comme à une sœur, comme à un ange que l'on pris
    Me voilà posée sur ton épaule, écoutant tes cauchemars, la réalité
    Me voilà dépossédée de tout, voulant te noyer dans mon utopie
    Et peu à peu ma sœur tu devins, mon ange tu fus


    Nous étions ensemble pour le pire, le meilleur reste à venir

    Ne me dis pas aujourd'hui que tu n'y crois plus
    Grâce à toi j'ai recommencé à vivre, aimer, rire, grandir
    Tes mots, tes lettres, ces poèmes qui rythment ma vie
    Avec toi ma sœur, mon ange, ma jumelle
    Mes rêves ont enfin trouvé dans tes yeux un semblant de vie
    Il m'a suffit de te connaître pour savoir que la vie pouvait être belle.


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  • Encore un essai, encore un échec,

    Ce monde merdique qui l'a torture mais ne veut pas la laisser partir.

    Lasse, lâche, elle espère, elle rêve,

    Ordonne qu'on la laisse partir, et encore une fois on la retient.

    Tout ces gens qui s'en foutent d'elle et qui la rattrape encore et encore,

    Leur fausse amitié écoeurante, leur pitié suintant de leur cœur.

    Encore les pilules avalées par dizaines

    Encore le même réveil

    L'hosto, les hypocrites à son chevet, la famille

    Une bouffée de rage contre ceux qui sont devenu ses ennemis

    Amis qui la laisserait mourir, ennemie qui la garde en vie

    Ils ne comprennent pas, ne l'aiment pas alors pourquoi ?

    Pourquoi s'acharner ? Pour avoir bonne conscience ?

    On dit l'aider, la sauver, essayer de la comprendre, on ment...

    Et entre deux tentatives, on l'envoi à l'asile, mais ELLE N'EST PAS FOLLE !

    Juste incomprise, sans foi, sans rêves...

    Toujours la même odeur d'hosto, les mêmes chambres impersonnelles

    Les tarés psychopathes la malmène, la harcèle, elle en devient sociopathe

    La rage, la haine, les pilules ne servent plus à rien

    C'est les lames, le verre, tout ce qui pourrait l'aider à partir, s'envoler

    Et au final on la rattrape toujours

    Les secondes deviennent des heures, les heures, des jours

    Isolement total, plus de fausse famille inquiète, plus d'hypocrites

    Juste des gens inconnus, qui comme eux, la prenne pour une folle

    Enfermée entre quatre murs, c'est ça la vie ? C'est ça la sauver?

    Elle la finira comme ça, sa vie,

    Considérée comme une folle, isolée, enfermée, enchaînée

    Elle hurle, s'acharne et meure lentement au final,

    A la personne qui lui demande ce qu'elle peut faire pour l'aider elle répond :

    « Please, Legalize suicide »


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  • Donne moi ce monde elastique. Dis moi qu'ici rever c'est moche, c'est salaud. Dis moi que rire ça sonne faux. Dis moi que la vie ne sert à rien et qu'on en oublis de respirer. Dis moi que l'amour, on lui doit les entailles aux bras, les arret de coeur, les camisoles blanche et le cyanure dillué. Dis moi que dans ton monde tout est autrement, que l'on rit pour de bon et que je ne saignerait pas sur les pavés. Dis moi que le soleil ne brule pas la peau et que personne ne meurt en souffrant, Dis moi que le monde est heureux. Dis moi que mon sourire est merveilleux et que tu veux l'emporter avec toi. Dis moi que d'où tu viens le ciel est bleu comme l'azur et que les nuages sont de barbapapa. Dis moi que je n'aurai plus jamais peur. Dis moi que je n'aurai plus jamais froid. Dis moi que tu ne me manquera plus jamais et que les plus beaux souvenirs sont gravés.


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  • « Amour, hélas, ne prend qu'un « m », faute de frappe, c'est haine, pour aime... »


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