• « Amour, hélas, ne prend qu'un « m », faute de frappe, c'est haine, pour aime... »


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    Princesse oublie, princesse souris, offre à sa cours le plus radieux des visage


    Mais quand retournant dans sa tour princesse se retrouve seule,


    Le silence pesant laisse sur son visage les larmes faire des ravages


    Princesse entourée mais que d'hypocrites qui la veulent sous son linceul


    Princesse ne connaît de vrai que l'amour des charognes, des corbeaux


    Dans ses atours princiers princesse toujours charmante


    Jusqu'à sa fuite, vaine tentative pour éviter le tombeau


    Princesse persécutée, princesse folle, princesse confiante


    Qui a cru aux sentiments avant de tomber.

     

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    Ils en oublient même jusqu'à son nom, pauvre fille fragile


    Ils en oublient jusqu'à sa présence, pauvre enfant docile


    Seule dans les dédales des rues qu'elle connaît par cœur,


    A trop les avoir arpentées seule, à trop avoir peur


    Ses pieds qui avancent seuls, sans but réel


    Elle qui se perd, eux cherchant à être immortels


    Un fossé les sépare, fossé qu'elle croyait comblé tant de fois


    Mais les gens oublient jusqu'à ton existence, quand ils n'ont plus besoin de toi.


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  • Pourquoi tous ces cons qui s'en sortent alors que ceux en face d'eux meurent

    Il avait tellement de chose à vivre ! 

    Tu t'envoles, long chemin qui te mène peut-être quelque part où on se reverra. Mon dieu tu me manques déjà tellement, ton sourire, ton regard, toi. Toujours à défier la mort de venir « j'y compte pas j'ai trop de choses à vivre » Elle a été la plus forte, ne t'as pas laissé vivre, elle te croit peut-être plus libre. Comment peut-on encore me parler d'espoir quand le seul qui me comprenait est parti. Si vite, sans prévenir, pourquoi toi, pourquoi ainsi ?Toi mon frère de cœur, ma conscience, mon bonheur te voilà disparut à jamais.Un accident m'aura tout ravi, il n'aura fallu qu'une seconde, te voilà en train de t'envoler.Tu m'avais promis de toujours être là, que rien à part la mort ne nous séparera.Tu as tenu ta promesse, c'est trop dur !Je ne sais pas quoi faire pour me dire que c'est comme ça et que rien ne changera ton départ précipité, départ que tu n'as pas voulu, départ qui me tu.Tout ces gens autours qui font semblant de comprendre ma douleur, de compatir sur une perte qu'ils ne comprendront jamais.Ils me disent que tu n'aimerai pas me voir dans cet état, qu'il faut que je me ressaisisse, mais merde ! Ils ne te connaissent pas !Tu étais ma vie, mon meilleur ami, mon frère de coeur, ma conscience, mon bonheur.Tout ces gens qui gravitent autour, leurs condoléances écoeurantes, pourquoi ne pas me laisser me réveiller de ce cauchemar horrible ?Je prendrai le téléphone et te raconterai ce cauchemar affreux, tu rirais en me disant que ça n'arrivera jamais et que tu seras toujours là...Et pourtant, je me concentre, j'essaye de me réveiller...Mais tu n'es plus là...Plus jamais je ne verrai ton sourire, tes yeux ; plus jamais je n'entendrais ta voix, plus jamais tu ne sera là pour essuyer mes larmes, plus jamais tu ne me demandera des conseils, plus jamais on parlera, plus jamais tu ne parlera, plus jamais tu ne vivra.Je suis seule rempli des ces souvenirs, les nôtres... Tout nos chemins empruntés je les faits sans relâche, nos endroits secrets, je repasse nos chansons, nos films...

    Et je meure à mon tour parce que sans toi plus rien n'a de sens.

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  • <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p><o:p> </o:p><o:p> </o:p> Qui est le con qui dit que là où il est il est mieux ? 

    C'est quoi cette connerie de penser que loin de ses délires il est mieux ? 

    Révoltante est cette pensée de se résigner à croire que tout va aller bien ? 

    Chaque jour sera rempli de lui, de ses blagues, de ses mots 

    Il est mieux où il est ? Je ne crois pas  

    La vie il la bouffait, dévorait la moindre bouchée de ses bonheur 

    Alors dire qu'il est mieux dans un endroit que nous même ne connaissons pas ...

    Peut-être que tout s'est arrêté, qu'il ne sens rien, comme un sommeil sans rêves

    Peut-être, peut-être, que des incertitudes sauf une : Il aurait du vivre encore


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